Quan l’irrealisme ens té


Né à Windsor, ville royale, de la reine d’Angleterre, en 1958, vit maintenant à Southsea, station balnéaire de Portsmouth, sur la côte sud de l’Angleterre, avec sa femme et un chat “à mi-temps” et gagne sa vie en tant que graphiste.

Il était peut-être inévitable que Jon allait étudier l’art; comme enfant, on le trouvait rarement sans un crayon à la main. Il a étudié l’illustration à la Reigate School of Art de 1977 à 81.

Son ambition était d’illustrer des livres pour enfants et des pochettes de disques, mais à la place il se retrouvait à apprendre à dessiner des dessins animés de manière démodée chez un fabricant de cartes de voeux. Après ça il a travaillé pour une entreprise de cartographie, où il a commencé à développer sa relation d’amour-haine avec la précision exigée par son métier, et peut-être en conséquence de cela, il n’a pas peint du tout dans les années 80.


Dans les années 90, il est retourné à l’aquarelle, des peintures détaillées ressemblantes à des échantillons de broderie pour ses expositions ou des petites choses drôles comme cadeaux pour des amis. En 2000 Jon travaillait en tant que graphiste et suite à l’avènement des ordinateurs à cette profession il a dû échanger ses pinceaux pour une souris et passer de nombreuses heures de son temps libre à apprendre les progiciels. Tant pis pour l’art.

En 2006, il a commencé à peindre à nouveau, utilisant des acryliques parce qu’il aime les couleurs vives qu’il peut atteindre avec ce médium. Depuis 2006, il a exposé avec succès dans de nombreux lieux dans le sud de l’Angleterre et à Céret dans les Pyrenées-Orientales et ses oeuvres ont également fait leur chemin vers les USA, la Grèce, la Catalogne et l’Allemagne. Deux de ses illustrations ont été utilisées pour des couvertures de livres.

Jon aime les calembours et les jeux de mots. Les thèmes de ses oeuvres et leurs titres (surtout en version anglaise) en témoignent. Son but n’est pas de faire une répresentation photographique; il essaie de peindre librement.


Inspiré par sa passion pour la musique, pour la mer et toutes les choses maritimes. Personne ne sait d’où viennent les vaches! Il veut que son art ait de l’esprit ludique. C’est presque comme si l’observateur arrivait au milieu d’une histoire, peut-être une histoire un peu bizarre comme un rêve, et qu’il doit interpréter ce qui se passe.

Chaque fois qu’il ressent le besoin d’être plus précis, il se tourne vers la gravure sur bois ou la peinture numérique, qu’il pratique depuis quelques années.

Les peintres préférés de Jon comprennent Magritte, Chagall, Otto Dix, Michael Sowa et, pour sa précision bien sûr Mondrian !