The way of the simiot
I am a ” Simiot ” !
What’s that?
Hush ! . . . , We hear it, we feel it, it is inside us, it is us . . .
In the silence and in the noise my espadrilles carry
me amongst this unusual army, fingernails a little blackened.
I am a child of ” Batère ” and of the “ cascaballada ” .
A feature of this dance is that during the music a sort of trill forces the dansers to change steps.
It’s the ” faux pas ” which reminds the recruits that they can always make a getaway.
The ” pas à pas “ , like an existential Bolero, of trampling in retreat, of an urgence that arises,
of those who watch closely for a rage to gnaw.
These traces, like so many writings, and cross outs,
show us the way in which the infinite manifests itself in the world, whilst remaining invisible.
They are, therefore, essentially ambiguous and enigmatic.
They speak of something that is no longer there.
They are unable to be tangible evidence that indicate
a passage which was impossible to witness.
Itinéraire d’un “Simiot”
Je suis un « Simiot » !
Qu’és això ?
Chut ! . . . , Nous l’entendons, nous le sentons, il est en nous, il est nous . . .
Dans le silence et dans le bruit mes vigatanes me portent
parmi cette armée insolite, les ongles un peu noircies.
Je suis un enfant de « Batère » et de la « cascaballada », la particularité de cette danse,
c’est qu’au milieu de la mélodie, une sorte de trille oblige les danseurs à changer de pied,
c’est le « faux pas » qui rappelle aux embrigadés qu’ils peuvent toujours faire une escapade.
Le pas à pas comme un boléro « existen-ciel », de piétinement en reculade,
d’une urgence qui se lève, de celui qui guette une rage à ronger.
Ces traces comme autant d’écritures, de ratures,
désignant la manière dont l’infini se manifeste dans le monde, tout en demeurant invisible.
Elles sont donc essentiellement ambiguës et énigmatiques.
Elle renvoient à quelques chose qui n’est plus déjà là.
Elles ne peuvent être l’objet d’une certitude
qui indique un passage dont on aurait en aucun cas pu être témoin.